Donnons forme au changement

«Le monde a besoin aujourd’hui de personnes qui se lèvent, font entendre leur voix et, si nécessaire, provoquent le changement par la désobéissance civile.»

Iris Menn, directrice de Greenpeace Suisse

En tant qu’êtres humains, nous avons besoin d’écosystèmes intacts. Mais nos comportements poussent près d’un million d’espèces animales et végétales au bord de l’extinction. Nous devons protéger de grandes parties de notre planète contre les interventions humaines destructrices. Lève-toi. Impliquons-nous.

• Faire un don
• Protection du climat
• Changer l’agriculture et l’alimentation
• Sauver les forêts et les océans
• Amorcer la révolution du réutilisable

Merci de vous engager avec Greenpeace pour protéger l’environnement. Avec votre don, vous rendez possible notre engagement pour un avenir pacifique et écologique.

Nous finançons notre engagement en faveur de l’environnement exclusivement par l’intermédiaire de particuliers et de fondations, car l’indépendance fait notre force.

Qu’est-ce qui rend Greenpeace si efficace ?

• Nous agissons en réseau à l’échelle mondiale et nous nous appuyons sur des campagnes créatives.
• Nous sommes courageux, nous faisons la lumière sur les crimes environnementaux et nous proposons des solutions.
• Nous restons non-violents en toutes circonstances.
• Nous sommes financièrement indépendants des gouvernements et n’acceptons pas de dons de sociétés ou de partis politiques.
• Dans le monde, 2,8 millions de personnes nous soutiennent, dont plus de 150’000 en Suisse.

Les efforts pour protéger le climat sont encore trop timides à l’échelle mondiale.L’action que nous menons depuis de nombreuses années n’est toutefois pas sans effet. Dans le secteur financier, par exemple, on observe une prise de conscience de la responsabilité à l’égard du climat.

Ce que fait Greenpeace en Suisse

• Convertir la place financière: la Suisse, dont la place financière gère des milliards de dollars, dispose d’un levier important pour contribuer à la transition énergétique mondiale. Greenpeace veille à ce que les investissements de la place financière suisse soient mis au service d’une économie mondiale durable.

• Encourager la protection du climat en Suisse: chaque pays doit réduire ses émissions.La Suisse, pays riche et prospère, se doit d’être un modèle en matière de protection du climat. Plus un grand nombre de pays montreront qu’une économie respectueuse du climat est viable, plus vite nous parviendrons à sortir de la crise climatique mondiale.

• Réorienter le programme de relance économique: une expertise réalisée par Greenpeace et Energiewende-Ja montre comment un programme de relance économique respectueux du climat après la crise du coronavirus peut réussir. Une relance ciblée permettrait de créer 50 000 emplois et de réaliser des milliards d’économies à long terme.

Destruction des dernières forêts tropicales, contamination des nappes phréatiques et mort des abeilles sont autant de conséquences dramatiques de la production alimentaire actuelle. À cela s’ajoutent les immenses quantités de gaz à effet de serre émises par les industries de la viande et des produits laitiers.

Ce que fait Greenpeace en Suisse

• Mettre fin aux importations de fourrage: aujourd’hui, 60% des aliments concentrés destinés aux animaux d’élevage en Suisse sont importés, notamment du Brésil. Greenpeace demande au Conseil fédéral de réduire rapidement les importations de fourrages et de viande nuisibles à l’environnement, et d’y renoncer complètement à moyen terme.

• Promouvoir l’alimentation végétale: avec sa campagne «Moins mais mieux», Greenpeace encourage la tendance à la réduction de la consommation de viande. De plus en plus de personnes optent pour un régime alimentaire plus favorable au climat et à la protection des espèces, mais aussi à notre santé.

• Saisir les occasions actuelles de réforme: la Suisse votera cette année sur les initiatives pour une eau potable propre et pour une Suisse libre de pesticides de synthèse, puis, probablement en 2022 ou 2023, sur l’initiative pour une Suisse sans élevage intensif. Ces trois propositions vont dans le sens souhaité. C’est pourquoi Greenpeace les soutient en publiant des rapports sur les pesticides et les fourrages et s’engage à voter trois fois «oui».

Le plastique est présent aux quatre coins de la planète et jusque dans les profondeurs des océans. Les conséquences de son utilisation inconsidérée sont évidentes. Seul un abandon des produits et des emballages jetables peut endiguer le flot de déchets plastiques.

Ce que fait Greenpeace en Suisse

• Convaincre Nestlé: réutiliser au lieu de jeter devrait devenir la nouvelle norme, même pour les emballages de la plus grande entreprise alimentaire et du deuxième plus grand pollueur au plastique au monde. Nestlé répond à la pression et au dialogue par la promesse de rendre tous ses emballages recyclables ou réutilisables d’ici à 2025 et de réduire d’un tiers les nouveaux plastiques à base de pétrole.

• Développer le réutilisable pour les plats à emporter: en Suisse, des milliers de personnes utilisent chaque jour de la vaisselle jetable en plastique ou en carton pour leur déjeuner. Rapidement utilisée, cette vaisselle vient s’ajouter à la montagne de déchets. Greenpeace présente des solutions simples: privilégier des récipients et des couverts réutilisables.

• Mettre fin à la pandémie de plastique: la pandémie de coronavirus a conduit à une utilisation accrue de plastique. Les restaurants servent leurs plats dans de la vaisselle jetable, les supermarchés proposent des gants en plastique pour les courses, les masques jetables sont omniprésents. Selon les scientifiques et les experts de la santé, des emballages réutilisables et des masques en tissu correctement fabriqués sont suffisamment sûrs pour la vie quotidienne, même dans le contexte de la pandémie. Greenpeace veille à ce que la crise sanitaire ne vienne pas aggraver la crise du plastique.